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 metro lundi er octobre  www.metrofrance.com carrières FOCUS. Le secteur de la banque En savoir plus sur les banques Banque, assurance, finances (des métiers, des formations, des témoignages), collection Parcours, Onisep,  pages. ONISEP » Infos sur : www.fbf.fr, www.ffsa.fr/ metiersassurance La banque, la finance et l’assurance : Combler les départs des secteurs prometteurs D’ici à 2010, 40 000 départs en retraite sont prévus, ce qui fait un secteur très dynamique. A la recherche de futurs collaborateurs, la banque de marchés (hors agences), quant à elle, offre un vaste panel de fonctions dont celles du back-office (règlement des transactions). Une image peu glamour » A lire : Les Métiers de la banque-finance-assurance, aux éd.Studyrama (disponible en librairie ou sur www. studyrama.com). Les entreprises tentent de séduire les jeunes diplômés afin de faire face aux nombreux départs en retraite ne cesse de se développer. Jeunes diplômés d’écoles de commerce ou d’ingénieurs, en gestion, en MBA, comptabilité, finance, trésorerie et autres formations orientées vers ces métiers, les métiers de la banque vous tendent les bras. Chargés de clientèle, directeurs d’agence, etc., les opportunités sont nombreuses. Un cursus atypique Depuis sept ans, la BNP Paribas ouvre ses portes aux jeunes titulaires d’un bac +  à bac +  âgés de moins de  ans, issus d’horizons variés (communication, lettres, sport, etc.). La vingtaine de jeunes recrutés poursuit pendant un an une formation qui allie théorie et pratique sur le terrain, avant qu’ils soient embauchés en tant que conseillers en patrimoine financier. En moyenne, % des jeunes formés sont recrutés en CDI. % © MEIGNEUX/SIPA Le secteur de la banque est en pleine forme avec une hausse de % en  . D’ici à la fin de l’année, on devrait compter   cadres recrutés. » Source Apec,  Dans les années à venir, les entreprises auront à faire face aux départs en retraite des baby-boomers. Voilà pourquoi elles prennent les devants en courtisant les jeunes diplômés. Bien que passionnants, ces métiers souffrent d’une image peu glamour et sont souvent méconnus des étudiants. Pourtant, l’opérateur et l’expert back-office jouent un rôle crucial pour les banques. Attention, certaines exigences sont demandées telle que la polyvalence, mais les évolutions de carrière sont prometteuses. MAYDA BAKRI/STUDYRAMA Gros plan sur trois métiers du secteur financier • Le trader • L’agent d’assurances Une maison, une voiture sont assurées contre l’incendie, le vol, l’accident. Un particulier peut aussi s’assurer sur la vie. Quand un musée prête ses tableaux pour une exposition à New York ou à Tokyo, il les assure. Les entreprises assurent leurs installations. MÉTIER. • L’actuaire © BRIGITTE GILLES DE LA LONDE/ONISEP Formation Deux ans d’études pour préparer un BTS ou un DEUST assurance ; quatre à cinq ans à l’université, en école de commerce ou dans un institut des assurances. © ONISEP /DECLIC.ONISEP.FR En salle des marchés, Isabelle suit en temps réel l’évolution des taux d’intérêt. Etablir le bon diagnostic Isabelle est trader sur le marché des taux d’intérêt américains à court terme. Elle achete et vend des valeurs au meilleur prix. L’œil rivé sur les cinq écrans d’ordinateurs positionnés devant elle, Isabelle suit en temps réel le cours des valeurs, les échanges financiers, les gains et les pertes du jour… PORTRAIT. Le goût du risque Le métier de trader exige un fort engagement personnel, le goût du risque, de la rapidité et une grande disponibilité. Ce qui n’effraie pas Isabelle, trader depuis plus de dix ans. “C’est un métier qui fonction- ne 24 heures sur 24 et qui bouge tout le temps”. Après son DEA de maths et de finances à l’université, Isabelle a préparé un master de finances de marchés d’entreprises dans une école de commerce. “J’ai effectué mes deux derniers stages en banque, c’est ce qui m’a permis après de trouver un travail en salle de marchés.” Mais les profils sont très divers, certains viennent même d’écoles d’ingénieurs. Ce métier exige avant tout sang-froid, rigueur et vivacité d’esprit. C. YUN/ONISEP » Retrouvez le portrait vidéo d’Isabelle sur www.onisep.fr/ metiers Les sociétés d’assurances s’engagent à couvrir les risques de ces différents clients. L’agent général d’assurances établit le diagnostic de ces risques et propose au client les produits d’assurance les plus adaptés à sa situation. Commercial, il représente une compagnie d’assurances dans une zone géographique donnée. Il doit conseiller le client et développer le placement des produits de la société qu’il représente. À l’image du courtier, ce travailleur peut exercer à titre libéral après avoir acquis une expérience commerciale, notamment dans la banque ou l’assurance. Il peut être spécialisé dans certains risques. On recrute des actuaires partout où se posent des problèmes de prévision économique. Mathématicien de haut vol, l’actuaire jongle avec les calculs de probabilités et les programmes informatiques. Il mesure les risques qu’encourent les sociétés de réassurance, par exemple, en couvrant une compagnie d’assurances. MÉTIER. cier d’une assurance. Il établit des tables de fréquences de mortalité pour calculer les cotisations des contrats d’assurance vie. On recrute des actuaires partout où se posent des problèmes de prévision économique, de rentabilité, de couverture des risques. Calculer, prévoir, informer L’agent d’assurances peut exercer à titre libéral. De même, quand une banque prête de l’argent à un client, elle prend un risque et a besoin de l’actuaire pour calculer la capacité du client à rembourser. Dans les sociétés d’assurances, l’actuaire calcule les primes que ses clients doivent verser pour bénéfi- Formation De quatre à cinq ans d’études à l’université en mathématiques ou en statistiques, à l’Ensae, dans un institut d’actuariat, en école de gestion ou d’ingénieurs. © DURAND/SIPA